Comment une blockchain émergente a réinventé le minage, dépasse Monero en rentabilité, et ouvre la voie à l’IA décentralisée, le tout expliqué en termes simples pour débutants.
Comment une blockchain émergente a réinventé le minage, dépasse Monero en rentabilité, et ouvre la voie à l’IA décentralisée, le tout expliqué en termes simples pour débutants.
Il y a quinze ans, Bitcoin a introduit le Proof-of-Work (PoW) : les mineurs brûlaient de l’électricité en résolvant des puzzles mathématiques ; le plus rapide gagnait de nouvelles pièces et, par extension, sécurisait le registre. C’était brillant, mais le monde a changé. Les prix de l’énergie augmentent, les régulateurs…
La cybersécurité mondiale fait face à un défi inédit : les organisations doivent simultanément se conformer à NIS2, préparer la migration post-quantique (échéances NIST 2030-2035) et implémenter un zéro-trust réellement opérationnel. Cette convergence de contraintes crée une fenêtre d'opportunité unique pour les solutions qui résolvent plusieurs problèmes à la fois.
La sénatrice américaine Cynthia Lummis a officiellement introduit le 21st Century Mortgage Act, une législation révolutionnaire qui exigerait des entreprises parrainées par le gouvernement qu'elles considèrent les actifs numériques lors de l'évaluation de l'éligibilité aux prêts hypothécaires unifamiliaux.
Bybit, deuxième exchange crypto mondial par volume, franchit une nouvelle étape en Europe. La plateforme vient d'annoncer le lancement du trading sur marge spot sur Bybit.eu, offrant aux utilisateurs européens un effet de levier allant jusqu'à 10x sous un cadre réglementaire strict.
Le 14 août 2025 marque une étape historique pour l'écosystème crypto européen : XION devient officiellement le premier projet Launchpool sur la plateforme Bybit EU nouvellement licenciée sous MiCA. Cette alliance stratégique illustre parfaitement la maturité croissante du secteur blockchain dans un environnement réglementaire strict.
Le tokeniseur d’actifs Brickken et le protocole de crédit décentralisé Credefi ont annoncé, le 28 juillet 2025, un partenariat stratégique qui marque une avancée majeure dans la convergence entre la tokenisation réglementée et la finance décentralisée. Désormais, les détenteurs d’actions ou d’obligations tokenisées via Brickken peuvent utiliser ces titres comme collatéral pour emprunter du USDC directement sur Credefi, via un mécanisme permissionless, pair-à-pair et non-custodial.
La tokenisation des actifs réels (RWA) n’est plus une expérimentation de laboratoire : c’est un chantier mondial qui, discrètement, réécrit la manière dont on possède un immeuble, une obligation d’État ou une créance d’entreprise. L’idée est simple : représenter un droit économique (loyer, coupon, dividende) par un jeton inscrit sur une blockchain, échangeable à tout moment et, surtout, programmable. Mais derrière la simplicité apparente se cache une mécanique juridique, technique et financière qui s’affine mois après mois.
La demande de puissance de calcul, d’agents autonomes et de marchés ouverts pour les modèles explose, pendant que les acteurs centralisés (Big Tech & Clouds) concentrent l’offre. Le marché crypto tente d’y répondre avec des architectures décentralisées qui rémunèrent l’apport de ressources (GPU, modèles, données, sécurité) et alignent les incitations via un token.
Le deuxième trimestre 2025 restera dans les annales comme un tournant majeur pour le marché des cryptomonnaies. Après un début d'année morose marqué par les tensions géopolitiques et l'incertitude réglementaire, l'écosystème crypto a démontré une fois de plus sa capacité de résilience spectaculaire. Le rapport trimestriel de CoinGecko, référence incontournable de l'analyse crypto, révèle des chiffres qui parlent d'eux-mêmes : une croissance de 24% et un regain de confiance institutionnel sans précédent.
Kraken déplie sa carte routière et réalise son propre tour de France. Direction les places de marché, les salles des fêtes et les médiathèques de province. L’idée est simple, presque évidente : aller là où vivent les Français, pour parler crypto sans filtre ni jargon, en face à face. Pas de keynote glacée ni de livestream impersonnel : une présence physique, des démonstrations concrètes, des questions-réponses à hauteur d’homme.
Une loi passée inaperçue autorise les emprunteurs à mobiliser leurs actifs numériques comme garantie. Un tournant discret, mais symbolique, pour l’intégration des cryptos dans la finance traditionnelle.
Credefi annonce un partenariat avec Vayana, présenté comme la plus grande plateforme de TradFi en Inde, pour déployer des instruments de dette tokenisés dans un cadre pleinement conforme et les ouvrir aux investisseurs de la DeFi. Au-delà du signal marketing, l’accord balise un canal réglementé entre capitaux crypto et besoins de financement réels (PME, chaînes d’approvisionnement) dans l’une des économies à la croissance la plus rapide.
On parle beaucoup de RWA depuis deux ans. Dans le lot, l’immobilier coche toutes les cases d’un actif “grand public” : des flux prévisibles (loyers), un sous‑jacent tangible, et la possibilité d’acheter des fractions plutôt qu’un bien entier. La promesse est simple : transformer des parts de biens en tokens échangeables…
La crypto en France amorce un tournant décisif. OKX, l’un des leaders asiatiques les plus influents de l’écosystème mondial, annonce son lancement officiel dans l’Hexagone, conformément au cadre réglementaire MiCA. Fort de son expérience sur les marchés internationaux, OKX arrive avec une ambition claire : offrir aux utilisateurs français une plateforme à la fois moderne, ultra-sécurisée, dotée de frais parmi les plus bas du marché et pleinement alignée sur les nouvelles exigences européennes. Cette implantation symbolise l’entrée dans une nouvelle ère, où transparence, performance et confiance deviennent la norme. En tant qu’exchange, OKX a une vision innovante du Web3 pensée pour l’Europe et portée par une technologie déjà éprouvée.
Avec le lancement de Bybit EU, plateforme pleinement conforme MiCA et opérée depuis Vienne, l’exchange combine désormais cadre réglementaire unifié et profondeur de marché, deux signaux importants pour les utilisateurs qui cherchent un accès robuste et liquide. En bref Bybit EU combine régulation MiCA et liquidité…
Le token $NAORIS a fait ses débuts hier après-midi sur plusieurs exchanges simultanément : Binance Alpha a ouvert le bal, suivi d’un contrat perpétuel NAORISUSDT sur Binance Futures. MEXC a lancé le marché spot, Bitget a listé la…
L’arrivée des ordinateurs quantiques bouleverse les fondations de la cybersécurité mondiale. Ces machines menacent les systèmes cryptographiques classiques, fragilisant les blockchains, les identités numériques et les données sensibles. Les architectures centralisées, encore dominantes, montrent leurs limites face à ces risques émergents. Elles concentrent les vulnérabilités et ne permettent ni validation continue ni résilience réelle. Dans ce contexte, une nouvelle génération d’infrastructure s’impose. Naoris Protocol incarne cette rupture. Il dépasse le modèle traditionnel du DePIN en créant une couche d’infrastructure post-quantique, appelée Sub-Zero. Cette architecture se positionne sous Layer 0 et sécurise l’ensemble de l’écosystème numérique, du Web2 au Web3, avec un maillage autonome et résistant.
Le numérique évolue dans un contexte de plus en plus complexe, interconnecté et vulnérable. L’émergence du quantique, l’essor de l’IA et la prolifération des objets connectés accentuent les failles existantes. Les infrastructures Web2 et Web3 reposent encore sur des modèles centralisés, incapables d’absorber les nouvelles menaces. Cette centralisation crée des points de défaillance uniques et affaiblit la résilience globale des systèmes. Face à cette réalité, une nouvelle approche devient nécessaire. Naoris Protocol propose le Cyber Physical Trust Mesh (CPTM), une solution d’infrastructure décentralisée post-quantique. Elle dépasse le cadre du DePIN traditionnel en instaurant un maillage de confiance conçu pour valider, sécuriser et renforcer l’ensemble des couches numériques, en continu.
Le Web3 connaît une croissance rapide portée par la DeFi, les NFT et les DAO. Cette expansion attire aussi des attaques de plus en plus sophistiquées. Les smart contracts, les bridges et les DEX représentent des cibles vulnérables. Les solutions de cybersécurité actuelles n’apportent pas de réponse durable et reposent sur des audits ponctuels et des outils mal adaptés aux environnements décentralisés. Pour garantir une adoption massive, le Web3 doit intégrer une sécurité native, continue et résistante aux menaces futures. Naoris Protocol propose une réponse structurelle. Il déploie une infrastructure post-quantique, décentralisée et vérifiable, qui dépasse le DePIN traditionnel. Il introduit une sécurité ancrée dans l’architecture même du Web3.
Les entreprises Web2 affrontent aujourd’hui des menaces de plus en plus sophistiquées. Leurs infrastructures, souvent centralisées, peinent à résister aux attaques ciblées, aux failles invisibles et aux futurs risques liés à l’informatique quantique. La cybersécurité Web2, encore largement fondée sur des modèles traditionnels, ne suffit plus à protéger des systèmes interconnectés, complexes et critiques. Face à ce constat, Naoris Protocol propose une alternative : une infrastructure post-quantique décentralisée conçue pour s’intégrer sans rupture aux environnements existants. Placée au-dessus du DePIN, elle offre une couche de sécurité continue et distribuée, sans point de défaillance. Cet article explore comment les entreprises Web2 peuvent tirer parti de cette approche à travers des intégrations concrètes, applicables dès aujourd’hui.
Le marché des cryptomonnaies séduit un nombre croissant d’investisseurs à la recherche d’innovation et de rendement. Pourtant, chaque nouvelle attaque, chaque faille exploitée, rappelle la fragilité de cet écosystème. La sécurité reste une condition non négociable pour pérenniser la confiance et favoriser l’adoption à grande échelle. Une nouvelle verticale émerge face à ces enjeux : les cryptomonnaies de cybersécurité. Ces actifs associent utilité, résilience et réponse directe aux failles structurelles du Web3. Parmi elles, Naoris Protocol se distingue par son approche infrastructurelle, post-quantique et décentralisée. Cet article explore les risques actuels du marché, l’importance d’une sécurité native, et le rôle stratégique de Naoris dans cette transformation.
La crypto se vit souvent en ligne, mais l’adoption réelle commence au contact du terrain. C’est le pari de Kraken, qui sillonne la France avec un tour inédit : 21 étapes pour rencontrer les utilisateurs, les curieux, les créateurs, loin des grandes métropoles. Pas de discours figé ni de jargon,…
La transition vers des standards cryptographiques post-quantiques devient un impératif mondial. Aux États-Unis, les autorités exigent une migration d’ici 2030, suivie de la suppression complète des algorithmes actuels d’ici 2035. Face à cette échéance, les infrastructures centralisées montrent leurs limites. C’est dans ce contexte que Naoris Protocol se distingue en proposant la première infrastructure post-quantique décentralisée.
Ultra s'est positionné comme un challenger audacieux dans l'industrie du gaming et du Web3, déterminé à bouleverser l'ordre établi dominé par des plateformes comme Steam. Depuis que Gus van Rijckevorsel a pris les rênes en tant que CEO en décembre 2024, Ultra est passé de sept années de R&D à une stratégie d'expansion commerciale agressive, se positionnant comme une plateforme de distribution gaming dotée de la technologie la plus avancée disponible. Cet article explore les étapes clés de cette transformation et met en lumière la vision ambitieuse qui guidera Ultra dans sa quête pour devenir le "Netflix du gaming."
Les cybermenaces se multiplient dans un monde où les systèmes numériques deviennent toujours plus interconnectés. Les architectures classiques, centrées sur la confiance implicite et des points de contrôle uniques, ne suffisent plus à protéger les données et les infrastructures critiques. Le modèle Zero Trust s’impose alors comme une réponse claire à ces failles : il repose sur la vérification continue, sans accorder de confiance par défaut. Pour aller plus loin, la blockchain offre un socle idéal. Avec son architecture Sub-Zero, Naoris Protocol transforme cette promesse en réalité. Il crée une infrastructure décentralisée, post-quantique et auto-validante, capable de sécuriser le Web2 et le Web3 en temps réel et sans faille centrale.
Les cybermenaces se multiplient dans un monde numérique où tout s’interconnecte. Web2 et Web3 partagent désormais les mêmes vulnérabilités : cloud centralisé, objets connectés mal protégés, et cryptographies bientôt obsolètes face aux ordinateurs quantiques. Les solutions traditionnelles ne suffisent plus. Elles échouent à surveiller, protéger et valider en temps réel. Naoris Protocol propose une nouvelle approche. Il agit comme une infrastructure de cybersécurité post-quantique, construite sous les couches blockchain, pour sécuriser Web2 et Web3 à la source. Cet article explore les défis actuels, explique le fonctionnement de la cybersécurité décentralisée, puis détaille les piliers techniques et les avantages stratégiques du modèle proposé par Naoris Protocol.
Le prochain cycle haussier (« bull run ») attire déjà de nouveaux investisseurs. Les indicateurs de marché (Bitcoin à 120 000$, Ethereum à 3 800$, hausse des volumes, nouveaux ATH sur plusieurs altcoins, retour de la liquidité) montrent que la phase d’impulsion a commencé : il est temps de se positionner intelligemment.
Imaginez le Carrousel du Louvre rempli d'ordinateurs, de post-its et d’accolades entre codeurs : c’est comme ça que se sont déroulées les finales de RaiseHack les 8–9 juillet, en parallèle du RAISE Summit, le principal rassemblement européen dédié à l’IA. L’édition 2025 a réellement mérité son titre de plus grand hackathon IA au monde : plus de 6 000 développeurs inscrits toutes Tracks confondues, un record certifié par la fondation organisatrice.
Quand le bitcoin flirte avec des sommets inédits, les projecteurs se braquent à nouveau sur l’univers crypto. Ce rebond spectaculaire, alimenté par les ETF et une adoption institutionnelle croissante, coïncide avec l’émergence d’un autre phénomène : la tokenisation des actifs réels (Real World Assets ou RWA). Ces instruments hybrides, à mi-chemin entre la finance traditionnelle et le Web3, attirent une nouvelle vague d’investisseurs en quête de stabilité et de diversification.