Explorez l’intersection entre la bourse traditionnelle et les cryptomonnaies avec nos ressources dédiées à la bourse. Découvrez comment les actifs numériques influencent les marchés financiers et comment intégrer les cryptos dans votre portefeuille d’investissement.
Nos articles proposent :
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Apprenez à :
Comprendre les corrélations entre la bourse et les cryptos
Identifier les opportunités d’investissement innovantes
Gérer les risques associés aux marchés volatils
Que vous soyez investisseur en bourse ou en crypto, nos ressources vous aideront à prendre des décisions éclairées pour maximiser vos rendements.
Les marchés américains ont célébré lundi la confirmation d'un accord préliminaire entre Washington et Pékin concernant l'avenir de TikTok. Oracle, favori pour l'acquisition de la plateforme chinoise, a bondi de plus de 3% tandis que le S&P 500 franchissait pour la première fois le seuil symbolique des 6600 points.
Sharplink Gaming Inc. a lancé un plan de rachat d'actions de 1,5 milliard de dollars alors que son action se négocie en dessous de la valeur nette d'inventaire (VNI) de l'entreprise. Ce rachat signale un effort stratégique pour améliorer la valeur pour les actionnaires tandis que le sentiment du marché sous-évalue actuellement ses avoirs en trésorerie Ether. L'entreprise, la deuxième plus grande société de trésorerie Ether, exploite cette opération pour renforcer la confiance des investisseurs et optimiser l'allocation du capital.
En seulement trois jours, la bourse américaine a assisté à un spectacle rare : huit des plus grandes entreprises technologiques ont vu leur capitalisation bondir de 420 milliards de dollars. Un mouvement éclair qui repositionne Google au centre du jeu et confirme à quel point les décisions réglementaires et les avancées en intelligence artificielle influencent désormais Wall Street.
Inconnue du grand public mais omniprésente dans les coulisses du pouvoir, Palantir travaille avec gouvernements et multinationales en exploitant la donnée. Valorisée à plus de 400 milliards de dollars après une hausse de 2000 % depuis 2023, elle représente soit l'opportunité d'investissement d'une génération, soit la prochaine bulle speculative prête à éclater.
Les indices américains ont poursuivi leur ascension, galvanisés par une inflation de juillet inférieure aux prévisions. Ce signal macroéconomique a propulsé les anticipations d’une baisse des taux de la Fed dès septembre, désormais quasi acquise aux yeux des investisseurs. Porté par cet élan, l’optimisme gagne aussi le marché des cryptos et les géants technologiques asiatiques, dessinant un mouvement global où macroéconomie, finance traditionnelle et DeFi avancent de concert.
Les signaux d'alarme sont partout. Entre l'explosion des inégalités et l'endettement record, le système financier mondial vacille dangereusement. Face à 37 000 milliards de dollars de dette rien qu'aux États-Unis, une question s'impose : assistons-nous à la fin du capitalisme tel que nous le connaissons ?
Les marchés vacillent, les cryptos décrochent. Sous l'effet conjugué d’une reprise des tensions commerciales et d’indicateurs économiques en demi-teinte, les valeurs technologiques ont subi un revers brusque. Dans leur sillage, les actions crypto comme Coinbase, Riot Platforms et CleanSpark ont lourdement chuté, amplifiant les pertes enregistrées sur un bitcoin passé sous les 115 000 dollars. Ce nouvel épisode de volatilité révèle l'extrême sensibilité des cryptos à l’agenda économique mondial et aux anticipations de politique monétaire.
La volatilité est courante dans le secteur du minage crypto, mais les récentes nouvelles de Nasdaq ont provoqué une onde de choc sur le marché, en particulier pour la société britannique Argo Blockchain (ARBK). L’entreprise risque désormais d’être radiée de la bourse américaine.
Polymarket, la plateforme crypto spécialisée dans les marchés prédictifs, prépare son grand retour aux États-Unis. Pour y parvenir, elle mise sur l’acquisition de QCX, une bourse régulée par la CFTC. Une manœuvre ambitieuse qui pourrait bien redéfinir l’avenir de la prédiction sur la blockchain.
Le marché des cryptos vient de franchir un seuil symbolique : 3 800 milliards de dollars de capitalisation. C’est plus que la valorisation d’Amazon, presque autant que le PIB du Royaume-Uni. Loin d’un simple cycle haussier, cette envolée propulse les cryptos au rang d’acteurs systémiques. Un tournant qui rebat les cartes : ce marché n’est plus périphérique, il rivalise désormais avec les grandes puissances économiques. Alors que les capitales financières observent, la cryptosphère impose son tempo, et redessine les contours de l’économie mondiale.
Quand une entreprise crypto entre dans le S&P 500, puis rejoint la liste TIME des 100 sociétés les plus influentes, ce n’est plus une simple reconnaissance : c’est un signal de changement d’ère. En 2025, Coinbase ne se contente plus d’être un exchange, elle devient un symbole de la normalisation du Web3 dans les cercles du pouvoir économique mondial. Son ascension marque une rupture nette entre les promesses utopiques du secteur et son intégration dans les structures d'influence traditionnelles.
Wall Street enchaîne les records, et la crypto retient son souffle. Alors que le Nasdaq et le S&P 500 évoluent à des sommets historiques, l’éventualité d’un assouplissement monétaire de la Fed ravive les scénarios haussiers. Dans ce climat d’optimisme, la question se pose : le bitcoin est-il prêt à franchir un nouveau seuil symbolique ? Avec des signaux macroéconomiques favorables et un regain d’intérêt institutionnel, l’hypothèse d’un BTC au-delà des 112 000 dollars refait surface, portée par la dynamique des marchés traditionnels.
Porté par une détente inattendue au Proche-Orient et un regain d’optimisme boursier, le S&P 500 a clôturé ce jeudi à 6 141,02 points, frôlant son sommet historique. En hausse de 0,8 %, l’indice emblématique signe un net rebond depuis son creux d’avril, malgré les incertitudes persistantes sur les tarifs commerciaux et la stabilité régionale.
Malgré un recul des bénéfices, les entreprises du CAC 40 redoublent d’attention envers leurs actionnaires. En 2024, elles maintiennent des versements records, à rebours des signaux économiques traditionnels. Dans un environnement marqué par une croissance en berne, une inflation accrue et des marchés instables, cette stratégie interroge. Est-ce un signe de force ou un pari risqué ? Tandis que la rentabilité actionnariale reste une priorité, le décalage entre profits distribués et performances réelles déclenche des doutes sur la durabilité de ce modèle.
Le conflit entre Israël et l'Iran fait craindre une escalade majeure, pourtant les indices américains flirtent avec leurs plus hauts historiques. Suite aux bombardements américains en Iran, cette situation risque de très vite changer et font planer le doute d’un effondrement brutal des marchés.
La bourse a ses humeurs, mais parfois, elle a surtout ses peurs. Et ce vendredi, la peur l’a emporté sur tout le reste. Une frappe israélienne contre l’Iran a suffi à provoquer un choc immédiat sur les marchés mondiaux, rappelant à tous que les indices ne sont jamais totalement déconnectés du bruit des bombes. À New York, le Dow Jones a chuté de plus de 600 points dès l’ouverture. Un effondrement brutal qui ne doit rien au hasard, mais tout à la géopolitique. Dans cette équation instable, la volatilité est redevenue la norme, et la Bourse une caisse de résonance du monde réel.
L'introduction en bourse de Circle a écrit l'histoire de Wall Street avec la plus forte hausse sur deux jours depuis 1980. Pourtant, derrière cette performance spectaculaire se cache un paradoxe troublant : l'émetteur de l'USDC a littéralement abandonné 3 milliards de dollars aux investisseurs institutionnels. Comment expliquer ce sacrifice financier colossal ?
Dans un environnement marqué par l’incertitude et les tensions géopolitiques, la bourse chinoise fait preuve d’une résilience remarquable. Alors que les discussions commerciales entre les États-Unis et la Chine reprennent à Londres, les marchés boursiers de Hong Kong et de Chine continentale enregistrent un rebond significatif, porté par les secteurs technologique, pharmaceutique et des terres rares. Cette dynamique pourrait profondément influencer l’équilibre financier en Asie dans les prochains mois.
Hier, Paolo Ardoino, PDG de Tether, est intervenu directement sur X (anciennement Twitter) pour réagir aux spéculations autour d’une potentielle introduction en bourse. Malgré une valorisation théorique évaluée à 515 milliards de dollars, il a coupé court aux rumeurs, affirmant que Tether n’a aucunement l’intention d’ouvrir son capital au public.
Gemini franchit une étape stratégique avec le dépôt d’un projet d’IPO auprès de la SEC. Dans un secteur où chaque initiative d’un acteur historique peut réorienter le marché, la plateforme fondée par les frères Winklevoss s’aligne sur la finance traditionnelle sans renier ses racines crypto. Sur fond de détente réglementaire et d’enthousiasme retrouvé pour les cryptos, cette décision ne relève pas d’un simple mouvement tactique, car elle pose les bases d’un nouvel équilibre entre innovation décentralisée et infrastructures boursières classiques.
Les marchés européens vacillent, les investisseurs fuient, et même les entreprises paniquent. Que se cache-t-il derrière ce chaos économique ? Une question brûlante refait surface : L’Europe a-t-elle détruit notre économie ? Découvrez ce que personne n’ose dire.
L'introduction en bourse d'eToro se lance sur le Nasdaq à 52 $ par action, dépassant les attentes. L'entreprise lève 310 millions de dollars, la valorisant à 4,2 milliards de dollars, et se positionne pour rivaliser avec des plateformes comme Robinhood.
Tether vient d'acquérir près d'un demi-milliard de dollars en bitcoin dans le cadre d'une opération stratégique majeure. Cette transaction prépare le lancement de Twenty One, une nouvelle société de trésorerie Bitcoin qui s'apprête à faire son entrée au Nasdaq via une fusion SPAC. Une manœuvre qui pourrait redéfinir les standards de la gestion institutionnelle des cryptos.
Le monde de l'investissement a été révolutionné depuis une décennie par la démocratisation des ETF et de la gestion passive. Cette stratégie d'investissement commence toutefois à montrer des signes d'essoufflement inquiétants. Avec des marchés potentiellement surévalués et des prévisions de rendements anémiques pour la prochaine décennie, il devient urgent de remettre en question les ETF.
Un tournant vient d’être franchi dans l’histoire des actifs mondiaux. Le 8 mai, le bitcoin a surpassé Amazon en capitalisation boursière, et est entré dans le top 5 des plus grandes valorisations au monde. Ce franchissement ne reflète pas seulement une performance de marché. Il cristallise la montée en puissance d’un réseau décentralisé face à un géant de la tech traditionnelle. Ce choc entre deux visions économiques redéfinit les hiérarchies financières et souligne l’ancrage croissant des cryptos dans les équilibres globaux.
Quand la Réserve fédérale choisit l’immobilisme, les marchés vacillent. En maintenant ses taux inchangés ce mercredi, la première banque centrale mondiale a respecté les attentes, sans apaiser les tensions. Ainsi, entre inflation persistante, consommation en ralentissement et incertitudes sur l’emploi, le message de la Fed reste volontairement flou. Cette stratégie de temporisation accroît la fébrilité des places financières et alimente les spéculations, notamment dans l’univers crypto, où chaque mot de Jerome Powell est scruté comme un indicateur capital.
Les marchés européens ont entamé la semaine sans cap clair, coincés entre deux incertitudes majeures : les décisions imminentes des banques centrales et la crainte d’un durcissement commercial mondial. Ce lundi 5 mai, les principales places financières affichent une prudence manifeste, illustrée par des indices en léger repli et des volumes d’échange faibles. En effet, les investisseurs attendent fébrilement les prochaines annonces de la Fed et de la Banque d’Angleterre, dans un climat où chaque signal monétaire ou diplomatique peut faire basculer la tendance.